Inès de La Fressange, Sophie Marceau et Madonna, mais aussi Michelle Pfeiffer ou encore Cristina Cordula… Toutes ces femmes sont quinquagénaires, sublimes et stylées. Elles s’assument et sont devenues des femmes auxquelles toutes les autres femmes, quel que soit leur âge, veulent ressembler. Bref, ces quinqua sont de nouvelles égéries !

La quinqu’ado n’est cependant pas forcément une célébrité. Elle est partout dans votre entourage, c’est peut-être même vous, votre mère ou votre supérieure hiérarchique. Ce nouveau terme en vogue, au centre d’une grande étude réalisée par l’Observatoire Balsamik des quinquas, désigne une génération de femmes qui atteint la cinquantaine et n’en a pas fini avec sa jeunesse, son dynamisme, ou son pouvoir de séduction. Elle arrive dans une période de sa vie où elle n’a plus rien à prouver, où elle s’est réalisée professionnellement, mais aussi en tant que mère.

Un etat d’esprit
la quinqu’ado se définit comme « une femme qui a physiquement la cinquantaine, mais est bien plus jeune dans sa tête dans le sens où elle présente des envies et des comportements similaires aux jeunes filles de 20 ans. »
Il s’agit donc avant tout d’un état d’esprit, une confiance en soi, une liberté, une connaissance de sa force et de ses faiblesses.
Selon ce sondage, donc, pour 94% des femmes de 25 à 34 ans interrogées, la quinqua s’occupe plus d’elle et a l’air plus jeune que celle des années 80. Elle s’habillerait également beaucoup mieux et serait plus sexy. Il faut l’admettre et en être fières, les quinquas n’ont jamais autant été valorisées. Et, aujourd’hui, la tendance est de vouloir ressembler davantage à Carole Bouquet, rayonnante et classe comme jamais, plutôt qu’à une starlette sans personnalité.
Selon une étude de l’Observatoire Balsamik des quinquas, à partir de 45 ans non seulement on se sent hyper bien dans sa peau, mais les plus jeunes nous trouvent trop classes.
Les trentenaires envieraient presque les fameuses quinqu’ados. 83% des femmes âgées de 25 à 34 ans les trouvent mieux dans leurs têtes qu’elles-même !
Alors vive la cinquantaine !